
Un portrait de Peter Sloterdijk (2020) par Anja Weber
Nous prenons le parti d’un Peter Sloterdijk maternel, celui dont la parole soigne, celui qui raconte qu’«il y a un trou au début et un trou à la fin», et qu’il faut «boucher les deux par la forme narrative». Car ces récits, cette parole couveuse, cette philosophie ovoïde, cet éloge du natal, ce fantasme vertical, dit-il encore, et c’est là que nous l’aimons le plus, sont des «formes de paniques». Ce numéro a été édité par Erik Bordeleau et Dalie Giroux.
Portrait
Anja WeberUn portrait de Peter Sloterdijk (2020) par Anja Weber